Longtemps avant la version télévisuelle hongroise des années 80 déjà évoquée sur ce blog, il y eu au temps du muet une adaptation bien plus réussie du livre de Alexei Tosltoï, réalisée par un des maîtres du cinéma soviétique, Yakov Protazanov. Malgré son âge respectable, le film conserve encore toute sa force visuelle qu'il doit autant à ses décors grandioses et futuristes qu'à ses costumes baroques et délirants, dans une esthétique démentielle qui évoque déjà le Metropolis de Fritz Lang ou le moins connu Madame Satan de Cecil B. DeMille. (24.04.2017) ⍖⍖
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